Bye Bye B. est né un soir de décembre 2015, j’avais alors 25 ans. Dans une pulsion créative qui m’attrape régulièrement, qui me rend complètement hystérique, ivre d’adrénaline. Et qui fait défiler les heures aussi.
Je me sentais alors un peu enfermée dans cette petite Belgique que j’affectionne pourtant beaucoup. Le monde m’appelait mais mes pieds préféraient rester dans leurs confortables chaussettes. Je me suis alors intéressée aux Belges qui avaient eu plus de cran que moi ou qui avaient été « prêts » avant moi et qui s’étaient expatriés – ou avaient voyagé un petit temps. Le concept me semble encore aujourd’hui très intéressant, une façon originale de relier la Belgique au reste du monde. Vous trouverez leurs aventures dans l’onglet « Les expat’s ». Mais qu’est-ce que ça me prenait du temps ! Surtout que j’avais commencé la rédaction des petites. Bref, j’ai vite été dépassée par tout ce que j’avais mis en place – ce qui est en fait l’histoire de ma vie, « vouloir tout faire, en même temps ». J’ai donc parlé de ceux qui m’entouraient et qui étaient bourrés de talent, en mettant en avant notre si belle belgitude. Et puis j’ai aussi un peu cassé les oreilles de mes compatriotes, à 7h15 tous les lundis matins sur Pure FM avec « les Tendances de Louise ».
Nous voici donc en ce milieu de 2019, quatre ans plus tard, trois livres publiés, quelques chroniques à la radio, et à 8 827 kilomètres de Bruxelles. En télétravail à mi-temps, à l’autre bout de la planète. Oui, moi ! J’ai troqué les chaussettes confor’ par des tongs. Et je découvre par moi-même le monde et plus seulement par le biais des lunettes de soleil des autres.
Bye Bye B sera est donc tout à la fois une connexion entre la Belgique et le monde, un ensemble de billets d’humeur, des découvertes de talents belges et d’ailleurs et un peu un CV par la même occasion, le lieu pour tenter de classer le joyeux désordre qui agite mes neurones.
N’hésitez pas, ci-dessous, à vous faire connaître vous, votre talent, vos idées, je me ferai un plaisir d’en parler !
Je vous embrasse,
Louise